Un match important à Zaporozhye

Pouvez-vous faire un point « infirmerie » ?

Concernant Benjamin Afgour, le choc pris au nez ne présente aucun déplacement de la cloison nasal. Donc aucun risque, le nez est juste abîmé. Il va s’entrainer avec le masque et il l’enlèvera dans quelques jours mais il est opérationnel. Melvyn Richardson, sera lui aussi dans le groupe pour partir à Zaporozhye demain. La radio de contrôle permet de dire que la consolidation est bonne et qu’il peut commencer à réintégrer le collectif. On aura besoin de lui dans les matchs à la fin du mois, donc un retour la semaine prochaine contre Zaporozhye (le 17.11) est envisageable. Nikola Portner, a repris mardi l’entrainement. C’est donc appréciable de travailler avec un effectif presque au complet.

Contre Ivry, une victoire mais des rotations compliquées ?

Non, ce n’est pas forcément lié aux rotations, mais plutôt un problème de concentration et d’implication de savoir garder le niveau de vigilance. La première mi-temps face à Ivry était très satisfaisante, et après on s’est laissés aller à la facilité avec des actions un peu moins construites et un peu moins d’efforts. La constance est une qualité sur laquelle on doit encore un peu travailler.

Que pouvez-vous dire de Zaporozhye ?

En plus de l’équipe, c’est le contexte du match qui est important. Zaporozhye fait partie des trois équipes que l’on a ciblées pour gagner des points. On joue chez eux ce week-end et on les accueille la semaine prochaine. Pour eux, c’est un match très important pour se relancer à la course aux qualifications. L’équipe a souvent perdu chez elle, mais est toujours restée dans les matchs. C’est un groupe de bon niveau, avec beaucoup de physique. Ils jouent un handball très direct avec de l’agressivité. Mais c’est le cas de toutes les équipes de Ligue des Champions, il faut donc s’en méfier.